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ces degueulase de voir la cruautee des chien / on devrait vous faire pareille
Par kharoubi, le 08.12.2024
soyez maudit pour l'éternité ceux qui font c'est atrocités a c'est pauvre bête sans défance j'espère qun jour
Par Anonyme, le 29.07.2024
7 ans de malheurs à ces chercheurs sans âmes. tourments leur assaillent leur âme, et un douloureux châtiment l
Par Anonyme, le 25.02.2023
malheureusemen t en ce moment c'est pas gaie pour eux! http://mamynoh a2.centerblog. net
Par Luce/Joly, le 03.08.2022
je déteste cela les pauvres souffrent ! http://mamynoh a2.centerblog. net
Par Lucd/Joly, le 09.07.2022
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Date de création : 13.07.2012
Dernière mise à jour :
25.07.2019
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atrocités pratiquées dans les abattoirs.
Editorial. Instaurer une vidéosurveillance obligatoire dans les abattoirs... Le moins que l’on puisse exiger est en effet que l’abattage ne se fasse pas à l’abri des regards.
A quatre reprises en huit mois, l’association de protection animale L214 a révélé des cas de maltraitance dans des abattoirs français. Ces vidéos, tournées en caméra cachée, ont ébranlé l’opinion. A juste titre. Il ne s’agit pas ici de débattre du bien-fondé de la consommation de viande, de son impact sur les animaux, l’environnement ou la santé – thèmes cruciaux déjà largement discutés. Il s’agit de faire respecter la loi.
Lire aussi : Nouvelles images de maltraitance animale dans deux abattoirs français
Or la réglementation est très claire en la matière : le code rural français et le règlement européen de 2009 sur la protection des animaux au moment de leur mise à mort énoncent que « toute douleur, détresse ou souffrance évitable[leur] est épargnée ». Les abattages conventionnels prévoient un étourdissement des bêtes – à l’aide d’une pince à électronarcose, d’un pistolet d’abattage ou de CO2 – et une deuxième tentative si la première échoue, afin de leur éviter d’être conscientes au moment de la mort. Des dérogations sont prévues pour l’abattage rituel, halal et casher, lors duquel des sacrificateurs égorgent – d’un seul geste – les bêtes en pleine conscience.
Lire aussi : L’abattage rituel fait débat sur la question de la souffrance animale
Des règles avec lesquelles les abattoirs incriminés étaient clairement en infraction. La plupart ont été fermés provisoirement et des enquêtes diligentées. Des plaintes de L214 sont en cours d’instruction. Le ministère de l’agriculture a mené une campagne d’inspection systématique des 263 abattoirs de boucherie : 107 avertissements ont été délivrés, 87 exploitants mis en demeure d’apporter des corrections et 3 établissements fermés.
Conclusions sévèresLe débat a gagné l’Assemblée nationale. En mars, elle a créé la première commission d’enquête parlementaire sur la question. Elle vient de rendre son rapport. Conclusions sévères : les inspections ont révélé, dans les « boîtes noires que constituent les abattoirs », de « nombreux dysfonctionnements souvent mineurs, parfois majeurs, auxquels il est indispensable de remédier ».
Lire aussi : Maltraitance animale : les députés veulent une vidéosurveillance obligatoire dans les abattoirs
Les députés recommandent de rendre obligatoire la vidéosurveillance dans l’ensemble des endroits « critiques » des abattoirs, d’augmenter les effectifs des services vétérinaires, d’alourdir les sanctions en cas de non-respect des règles pour « mettre fin au sentiment de quasi-impunité de certains opérateurs ».Il s’agit de réduire autant que possible la souffrance animale lors de l’abattage.
L’animal est un sujet que la loi doit considérer comme tel, nous a appris la grande philosophe Elisabeth de Fontenay dans son magistral « Le Silence des bêtes, la philosophie à l’épreuve de l’animalité » (Fayard, 1998). Nous tuons des millions de ces sujets tous les ans, en France. Le moins que l’on puisse exiger est que cela ne se fasse pas à l’abri des regards, mais de façon connue de tous et dans les conditions fixées par la loi. Ce serait faire preuve d’un minimum d’humanité à l’adresse de l’animalité.